Fiche Mémo
- Création : 2020 (Yaoundé, Cameroun)
- Fondateur : Jonathan Nenba (CEO, depuis Ngaoundéré)
- Siège : Yaoundé, Cameroun
- Statut : Startup fintech & crypto non régulée, listée sur StartupList Africa ; explorant l’ajout de services financiers à son écosystème crypto
- Mission : Permettre aux Africains d’acheter, vendre, gérer et utiliser des cryptomonnaies (BTC, ETH, LTC, BCH) via une application simple et sécurisée
Présentation stratégique
Mozacoin se présente comme la passerelle crypto accessible pour l’Afrique francophone, avec une vision claire : rendre les cryptomonnaies accessibles aux débutants comme aux initiés via une plateforme conviviale et intuitive.
Sa stratégie de croissance comprend :
- Un positionnement B2C, centré sur la simplicité et l’ergonomie.
- Une levée de notoriété via des participations à des événements blockchain / fintech en Afrique .
- Une expansion progressive : Cameroun → Afrique francophone → échelle continentale, potentiellement via des partenariats locaux.
Pays d’opération
- Cameroun : marché principal, application en ligne et hors ligne .
- Afrique francophone : en phase d’exploration – visibilité croissante, participation à des conférences continentales.
Services proposés
Service 1 : Plateforme d’achat/vente de cryptomonnaies
- Achat, vente et gestion de portefeuille pour Bitcoin, Ethereum, Litecoin et Bitcoin Cash.
- Interface simple, sécurité assurée, accessible aux utilisateurs novices comme expérimentés.
Service 2 : Écosystème financier autour de la crypto
- En cours de développement : intégration des paiements en crypto, outils back‑end, possibilités de déploiement en points physiques.
- Mission d’élargir au-delà du wallet vers un ensemble de services financiers innovants.
Relations avec les régulateurs
- En tant que plateforme non régulée à ce jour, Mozacoin suit probablement les bonnes pratiques cryptos standards (KYC/AML) bien que non formellement certifiée.
- Présence active dans l’écosystème blockchain national et continental, facilitant un dialogue informel avec les régulateurs locaux.
Critiques, controverses et enjeux actuels
- Sécurité et éducation : les utilisateurs débutants sont exposés aux risques (arnaques, phishing, frais cachés).
- Régulation : absence de cadre clair dans plusieurs pays d’Afrique francophone, frein potentiel au développement.
- Adoption marchande : infrastructures (internet, smartphones) et compétences techniques restent des barrières, comme le souligne l’étude Tech In Africa.
- Volatilité : les fluctuations rapides de prix pourraient freiner l’adoption en usages récurrents (transactions, paiements).
Partenaires clés
- Communautés crypto africaines : conférences, meetups et réseaux continentaux.
- Visibilité médiatique : mention dans Finance Magazine (UK) pour ses efforts d’inclusion crypto .
- Plateformes techniques/back‑end : collaborations probables avec des prestataires de wallets sécurisés (non publiquement détaillés).
- Incubateurs/accélérateurs : potentiels, via la présence sur F6S et StartupList Africa